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    Les crachats en pleine circulation. Nombreux sont ceux qui ont reçu une fois la sécrétion au  visage. En cette période de pandémie, le risque de contaminer de nombreuses personnes par cet acte incivique est fortement déconseillé.

    Certains se mettent sous la coupe du manque de temps pour se livrer à de pareil acte. D’autres par contre préfèrent se retrancher dans le lot des sous-informés en la matière. Mais nul n’est censé ignorer les principes de bases du civisme et les règles élémentaires d’hygiène. « Voilà, un phénomène qu’on banalise mais qui malheureusement est vécu tous les jours par des usagers de nos routes. Combien de fois, j’ai dû prendre une bonne dose de crachat en pleine figure ? Vivement que de telles pratiques prennent fin », s’indigne Marius, conducteur de Taxi-moto.

     

    Ces crachats en pleine circulation ne sont pas sans conséquences. « Je crois tout simplement que par, hygiène et égard pour les autres, le crachat doit être interdit complètement. Mieux vaut utiliser des mouchoirs en papiers, non ? C’est une question de bon sens et de politesse que de ne pas envoyer ses microbes sur les autres. Même en crachant à l’écart, le vent peut se charger de transmettre et de contaminer. Les gens doivent tout simplement éviter de cracher sur la voie publique », explique Kossi, étudiant en Médecine.

    Comme le coronavirus se transmet essentiellement par les sécrétions de la bouche et du nez, cracher est évidemment un acte totalement déconseillé. Il peut, en pleine pandémie, se révéler source de transmission du virus.

    Outre le coronavirus, d’autres maladies se transmettent par la salive. Il y a notamment la mononucléose ou la « maladie du baiser », l’herpès, le cytomégalovirus, les caries, l’angine à streptocoques, la grippe, la gastro-entérite et le rhume.

    Au Togo, pour l’instant, aucune politique de nettoyage spécifique ou de désinfection de la voirie n’est mise en œuvre.

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